Retour de vacances

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il y a 4 ans

Retour de vacances

Ma femme était partie en vacances pendant plus d’une semaine et elle commençait sérieusement à me manquer. Tous les soirs je l’imaginais nue et très chaude, prête à s’exhiber, elle qui est pourtant d’ordinaire très pudique. Je rêvais de situations très coquines et souvent je me branlais en pensant à elle. J’avais envie aussi d’essayer des expériences nouvelles afin que nous poussions réaliser tous nos fantasmes inassouvis. Il est vrai que l’on imagine plein de scénarios dans sa tête et que lorsque l’on se retrouve face à la réalité ces fantasmes restent souvent lettres m o r t es car les situations ne sont jamais exactement les mêmes que celles qu’on avait prévues.

Ce qui est sûr en tout cas c’est que j’avais très envie d’elle, même après avoir craché tout mon jus plusieurs soirs de suite en me masturbant. Il y a des périodes, en effets où même la jouissance n’apaise pas les tensions et où l’on en veut toujours plus. Alors j’attendais avec impatience son retour. Je l’imaginais descendant du train, et moi, après l’avoir longuement embrassée, en train de lui chuchoter à l’oreille mon désir de voir ses gros nichons nus tout de suite.

Ma femme a effectivement une forte poitrine, bien remplie, bien lourde, très excitante et pour ma part j’adore ses gros seins. Elle a également une belle paire de fesses et un peu de ventre également. D’une façon générale, on peut dire qu’elle est ronde et potelée mais très bien proportionnée et très bien foutue, et d’ailleurs très bandante. Elle, elle vous dirait qu’elle est grosse, moche, énorme, pachydermique... Mais surtout ne l’écoutez pas, c’est une folle.

Ainsi donc, dans mes rêves je lui demandais de me montrer sa poitrine, là, tout de suite, sans attendre de rentrer à l’hôtel. Au début elle n’y croit pas trop et me répond qu’elle est timide, trop complexée, même dans l’intimité de la voiture... Mais j’insiste. Nous sommes tous les deux assis côte à côte dans la voiture et je réitère ma demande :

  • Montre-moi tes grosses mamelles, je n’en peux plus d’attendre, j’ai envie de tes nichons. Vas-y, relève ton t-shirt au-dessus de tes beaux seins que je les admire.

Mon air décidé finit par la convaincre et elle s’exécute lentement. Ensuite je lui demande de les sortir de son soutien gorge lentement puis de se les caresser devant moi. De la voir ainsi faire me fait bander comme un fou. « Humm oui chérie, masse-toi bien les nichons, excite-toi coquine ». Je tends les mains pour participer au massage de sa poitrine, pour titiller ses tétins et pétrir ses jolies mamelles. Puis, je me penche vers elle pour lui grignoter les pointes et pour les lui téter avec passion. Je la dévore, les seins, le cou, le ventre, j’ai envie qu’elle soit tellement excitée qu’elle en perde toute notion.

  • Chérie, si tu t’occupais de ma bite maintenant, tu me fais bander comme un ours.

D’un geste expert, elle dégrafe ma braguette et extrait ma queue déjà dure et se met à la caresser et à la branler. Elle me masturbe doucement en me palpant les couilles de l’autre main. Puis elle se penche vers ma bite et commence à la sucer lentement en me regardant avec un regard lubrique. Humm, elle enfonce bientôt tout mon chibre dans sa bouche et le ressort lentement. Je dégrafe mon pantalon et le baisse pour me mettre plus à l’aise avant de m’agenouiller sur le siège pour qu’elle me taille une bonne pipe. Hummm, elle y va de bon cœur, elle aime ça sucer ma grosse queue cette cochonne.

Un peu plus tard je la fais s’allonger sur la banquette arrière et, m’apercevant qu’elle n’a pas de petite culotte, je craque son collant avec les dents et le déchire sur une large part pour dévoiler sa belle chatte. Au premier coup de langue, je m’aperçois qu’elle est trempée d’envie, et son odeur de chienne me donne envie de la prendre de suite. Mais je préfère faire durer le plaisir et entreprends de la lécher, de lui bouffer sa belle cramouille juteuse, de lui fouiller sa conasse, de titiller son petit bouton d’amour. Je la dévore à pleine bouche, agenouillé dehors devant son con. Humm quelle bonne chatte, j’adore la manger.

Ma langue passe et repasse partout, rentre partout sans oublier son petit trou jusqu’alors inv i o l é. Quant à mes doigts ils la fouillent profondément, d’abord un puis deux puis trois, puis quatre, un jour j’y mettrai la main toute entière. A f o r c e d’être branlée et léchée, elle finit par jouir dans ma bouche, m’inondant largement de sa mouille. Elle se tord dans tous les sens en se mordant les doigts pour ne pas crier, tandis que moi, vicieusement, je continue à la branler et à la sucer. Elle n’en peut plus, elle a l’impression que ça ne va jamais s’arrêter et c’est à ce moment là que je lui grimpe dessus et que je l’enfourne avec ma bite bien dure. Je vais et viens en elle comme dans du beurre tellement elle est trempée alors j’y vais de bon cœur à grands coups de bite dans sa chatoune, cette cochonne adore les grands coups de queue.

Un peu plus tard, je la fais sortir de la voiture pour la prendre debout penchée en avant vers la voiture, jupe largement troussée pour bien voir ses belles fesses. Et elle de relever son t-shirt pour me montrer ses gros seins qui ballottent sous elle. Humm quel pied, je sens la sève monter lentement dans mon manche. Je me ressors pour ne pas cracher, frotte mon gland sur ses fesses et dans la raie de son cul puis rentre à nouveau en elle et recommence à la défoncer. Une fois, deux fois ainsi et bientôt mes grands coups de bite la font jouir à nouveau...

Elle jouit en me disant qu’elle a envie de tout. Du coup je ressors mon engin et présente mon gland contre sa rondelle après l’avoir abondamment humectée de salive. Cette fois-ci tu va y avoir droit ma biche.

Très lentement pour ne pas lui faire mal mais fermement malgré tout, je m’enfonce en elle, ma bite rentre dans son cul bien à fond jusqu’aux couilles, ma grosse queue dure toute entière dans son petit trou. Et j’entreprends une lente sodomie. Au premier abord réticente, elle ne tarde pas à y prendre goût et me demande de l’enculer bien à fond en se branlant avec les doigts. Et j’ai la surprise de la voir jouir à nouveau par cul pratiquement au même moment où je finis par décharger mes jets de foutre dans son cul...

Humm qu’est-ce qu’elle est agréable par là aussi.

Mais ce n’était là qu’un rêve ! Donc voici ma femme qui descend du train, mais cette fois-ci pour de bon. Je viens vers elle, l’enlace, l’embrasse et lui roule une pelle passionnée sur le quai de la gare. Elle est sans doute gênée parce que nous sommes entourés de gens, d’autant plus qu’une de mes mains posées sur ses seins ne se gêne pas de les pétrir en public. Mais j’ai trop envie d’elle, j’aimerais la v i o l e r là, sur le quai. Elle me dit que vraiment j’exagère mais je crois qu’au fond elle adore ça. Nous voici arrivés à la voiture, assis l’un près de l’autre mais je remarque qu’elle a mis une robe et ce n’est pas très pratique. En plus il y a plein de gens qui sortent de la gare et passent près de nous. Je l’embrasse à nouveau passionnément puis démarre la voiture pour chercher un endroit plus tranquille. Un peu plus loin se trouve un parc boisé, j’arrête la voiture dans un coin et lui demande d’enlever son manteau puis d’ôter sa robe. D’abord hésitante, elle finit par accepter devant mon air lubrique. Elle se soulève donc légèrement puis remonte la robe jusqu’au dessus des seins me dévoilant ainsi son corps presque en entier. Elle relève sa robe, en se dévoilant peu à peu, ses cuisses d’abord puis ses fesses, son ventre et bientôt ses seins.

  • Ote-la en entier chérie.

Quel supplice pour elle mais elle y est obligée... Elle finit par ôter la robe et se retrouve en sous-vêtements dans la voiture. Je saisis une paire de menottes et lui attache les mains derrière le dos sur la poignée de la portière. Je n’en perds pas une miette et la mate partout vicieusement. Puis, je saisis son soutien gorge et le baisse pour libérer sa poitrine opulente... Humm et dire que je m’en suis passer plus d’une semaine. Je les saisis à pleines mains et les pétris avec mes doigts puis me penche sur elle pour la téter. J’ai envie de l’exciter en lui mordillant les tétons, j’ai envie de les faire durcir, j’ai envie de lui mettre le feu entre les cuisses...

Je la lèche partout pour l’exciter et comme elle est attachée, elle ne peut que me laisser faire.

Dans le cou, sous les bras, sous les seins, je lui fais subir le supplice de mes baisers.

Et bientôt je décide de retirer son collant, et sa petite culotte vient avec. Je libère ses fesses et sa chatoune et entreprends de les dévorer à leur tour. Attachée ainsi je lui fais subir le supplice de mes baisers. Ma bouche se pose partout, mes dents mordillent partout sans relâche, aux endroits où elle s’attend le moins pour l’exciter vraiment partout...

Parcourue de frissons dans tout le corps, elle n’en peut vraiment plus mais moi je continue infatigable à la supplicier avec ma bouche, sans oublier de la pénétrer de temps en temps avec mes doigts.

Elle n’en peut plus elle a envie que je la pénètre, que je la pine bien profondément avec ma grosse queue. Elle la réclame avec insistance. Alors je finis par la détacher et j’exige cette fois qu’elle se déshabille entièrement si elle veut que je la baise. Cette fois-ci elle ferait n’importe quoi pour avoir ma bite en elle. Elle se met entièrement nue et s’allonge d’elle-même sur les fauteuils avant, la tête du côté du volant selon mes instructions. Je peux ensuite lui attacher les mains au volant avec les menottes. Sadique jusqu’au bout, j’hésite encore à la défoncer, ce qu’elle réclame avec insistance. Au lieu de cela, je vais chercher le lubrifiant dans le coffre et lui enduis sa petite chatte avec et du coup enfonce mes quatre doigts en elle sans problèmes. Je la branle bien à fond en m’enfonçant en elle le plus possible tandis que mon autre main titille son clito.

Ensuite, sans arrêter de la branler, j’entreprends de la manger copieusement, à pleine bouche sur son fruit juteux. Et, à chaque fois que je la sens partir, je m’arrête pour faire durer le plaisir. J’en envie de l’exciter ainsi toute la nuit jusqu’à ce qu’elle crie grâce.

Mais je sais que ça n’arrivera pas car elle n’en a jamais assez dans ces moments là. Alors, étant donné que moi aussi j’ai très envie, je décide de couper court au supplice et finalement l’empale avec mon gros dard. Elle est tellement partie qu’elle couine de jouissance à chaque coup de bite. Humm, que c’est bon de la baiser ainsi en la regardant nue et attachée, qu’elle est bonne cette petite salope !

Enfin, lorsque je la sens bien partie et que son corps se trémousse dans tous les sens, je sors ma queue gonflée et me termine à la main devant ses yeux effarés. Je me branle sur elle avant de l’asperger de longs jets de foutre chaud et lui en mettre partout, sur la figure et les nichons. Ensuite je tape ma queue sur son ventre pour en faire sortir les dernières gouttes avant de l’essuyer sur ses cuisses et de masser ses seins avec mon foutre.

Après, avant de la détacher et de lui permettre de se rhabiller, je décide de lui manger à nouveau son petit abricot et même de la faire jouir encore avec ma langue. Cette fois, elle crie dans le sous-bois et j’ai vraiment peur qu’un voisin curieux ne vienne voir ce qui se passe. Mais quel bonheur de la voir s’exprimer ainsi ma petite cochonne de femelle...

Epoux d'une belle petite femme

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